Interview Julien Clocher

Si Obélix est tombé dans la marmite, Julien lui est « tombé » dans la passion du rugby ! Il a commencé le rugby vers l’âge de 6 ans à l’école de rugby de Bazas. Il a pris la relève de son père et de ses oncles.  Le rugby pour lui c’est la famille.  Il n’a jamais voulu partir en sport étude pour cette raison.  Quitter ses copains et sa famille c’est pour lui inimaginable.   A  l’âge de 19 ans,  il a voulu montrer qu’il avait sa place dans l’équipe fanion en voulant donner le meilleur de lui-même, mais cette première saison s’est malheureusement soldée par une descente. Aujourd’hui, ses qualités de battant et meneur d’homme l’ont amené à porter le brassard de capitaine. 
 
Fiche d’identité :
 
Naissance : 28 Avril 1988
Profession : directeur du syndicat des eaux de castets en dorthe
Ton dernier club en tant que joueur : US Bazas Rugby
Ton dernier poste  : depuis cadet au poste de talonneur, si besoin je peux dépanner en pilier gauche
Taille : 180 cm
Kg : 90 KG hors taxes
 
Coté privé :
Un surnom et pourquoi ? la cloche dû à mon nom de famille
Si tu étais un plat : pour rester local,  une entrecôte bazadaise et frites
Un alcool : le ricard ( en voilà un qui n’est pas copain pour rien avec serrot)
Une musique : les années 80
Une expression : « l’habit ne fais pas le moine » ou « alors on attend pas patrick ? »
L’endroit que tu aimerais faire connaitre : en tant que chasseur une palombière, pour sa convivialité
Un dimanche sans match tu fais quoi ? Grasse mat, un bon repas et passer du temps avec ma femme
 
Coté terrain :
 
Ton club de cœur : USBR et en tant que supporter le stade toulousain
Ton meilleur souvenir rugby : l’année de la montée en fédérale 3 : beaucoup de victoires, 3^ème mi temps énormes avec les copains. J’espère renouveler tout ça cette année en jouant au moins les phases finales.
Ton pire : Au delà des descentes, ma blessure des croisés l’année après la montée, car derrière j’ai fait une saison blanche
 
Coté vestiaire :
 
Que fais-tu la veille d’un match : rien de particulier, parfois un petit apéro mais sans excès
Ton rituel de match: j’ai toujours mal au ventre, je dors souvent dans le bus car j’ai du mal à me lever tôt, et surtout j’ai toujours la même place dans le vestiaire. Si c’est à l’extérieur, c’est à coté des douches et à castagnolles c’est entre riri et olive
Qu’est-ce qui t énerve le plus pendant un match : l’arbitrage maison.  Je ne supporte pas l’injustice.
 
A bazas selon toi qui est le plus fêtard : RIRI
Le plus raleur : Juju benaud et juju labat. Selon ses coéquipiers la cloche est trop humble pour le reconnaitre mais lui-même est très râleur.
Celui qui fait le plus peur sous la douche : Bouchon !  Mais attention pas pour ce que l’on pourrait croire … C’est surtout qu’autant de poils sur un corps c'est pas permis.
Une anecdote de vestiaire :  raph sessacq quand il a trouvé un oiseau mort dans son sac et a lâché un petit cri aigu ; mais également les bières dans le vestiaire après une victoire que l’on fête entre nous
 
Stéphanes Serres a une question pour toi : pourquoi à ton âge tu n’as plus de cheveux ?
(Rires)  Enfoiré ! je peux te retourner la question bien que tu sois plus vieux que moi. Je dirai que l’on ne peut pas lutter contre la génétique… Par contre je lance un défi à mes coéquipiers : si on finit dans les deux premiers de la poule cette saison… je les autorise à me raser la tête sur le terrain de Castagnolles
 
 
As-tu une question pour un joueur : Oui, pour Jérémy Eymard
As déjà tu eu l’ambition de jouer talonneur vu ton physique ?
 

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